21 nov. 2004

Pushkar, Radjasthan, vendeur de tchai


Huit heures de route indescriptibles de Dehli à Pushkar. Les obstacles, la couleur locale ont été mille fois rendus : ils existent. Singes, vaches, buffles, éléphants, piétons, rickshaws, motos, vélos, camions, voitures, autocars, minibus, tout cela virevolte et s’emboîte. Il suffit de fermer les yeux et tout se passe. En route, je rêve à une maladie grave qui me permettrait un rapatriement d’urgence par la Rega. Ma se régale de tout de qui l’entoure. Germ doute encore, semble osciller entre émerveillement et effroi. A l’arrivée, je suis juste content de ne pas être rendu à l’état d’Eric von Stroheim dans la Grande Illusion.
A Pushkar, c’est la foire annuelle aux chameaux. Pour un moment, jetlag oblige, je m’y sens aussi à l’aise qu’un rajasthani téléporté sur le Plan du Fou dans les alpes un 15 février. 
Trois heures de l’après-midi, nous branchons sur réserve et allons faire un tour en ville.

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